Que fais un Moka si loin de ses terres ? - PV Astre Hivernal -

D'aussi loin qu'elle se souvienne, la vallée n'avait jamais été aussi peu blanche depuis qu'elle avait élu domicile ici. Autrement dit, un bon bout de temps maintenant.
Au pied du plus grand arbre de la vallée, elle avait creusé son terrier pendant des jours entiers, le faisant le plus douiller possible.
C'était une tanière assez spacieuse, où un loup adulte pouvait facilement tenir debout, et qui pouvait accueillir plusieurs louveteaux (chose que Daka ne comptait jamais avoir, que ce soit bien clair). Les épaisses racines de l'arbre dissimulé l'entrée de la tanière, et les animaux n'étant pas du coin aurait vite fait de passer à côté sans l'avoir remarquer.

L'été était arriver, faisant sortir les proies de leurs cachettes, au plus grand bonheur de la louve blanche, qui n'avait pas à faire grand chose pour attraper un rongeur, même si c'était très peu nourrissant.
Dans un coin de sa tanière, elle entreposait ses proies, comme les meutes devaient le faire.
C'était là une bonne cachette pour sa réserve, en cas de tempête durant parfois plusieurs jours. Elle avait connu une semaine de famine à cause d'une grande tempête de neige qui avait bloquer l'entrée de sa tanière et fait fuir les proies. Et ce jour là, la louve avait compris la leçon.
Depuis, elle avait prit l'habitude de faire une réserve. Juste au cas ou.

Daka se baladait tranquillement sur ce qu'elle se plaisait à appeler 'sa terre'. Même si elle ne marquait pas son territoire comme les meutes, elle vivait ici depuis bien des lunes et s'était approprié les lieux, connaissant chaque recoin sur le bout des griffes.

Un petit lapereau blanc sorti d'un bouquet de fougère, suivit d'un autre, et Daka se coucha dans la fine couche de poudreuse, fixant ce qui allait être son déjeuner. D'autre petit museau blanc sortir, et c'est toute une famille de lapin qui apparu sous son nez.
Elle repéra le plus dodu, sachant bien que dès qu'elle bondirait, les autres s'enfuiraient.
Le gros mâle ferait l'affaire, et avec un peu de chance, elle pourrait aussi avoir pour dessert l'un des lapereaux qui se tenait à son coté.
Elle avança à pas de loups (c'est le cas de le dire), avant de bondir en avant, atterrissant sur le gros mâle, et écrasant au passage deux lapereaux, tandis que le reste de la famille s'enfuyait en bondissant.
D'un coup de croc elle tua le lapin dodu, avant de se dévissait la tête pour essayer d'attraper les deux jeunots coincer sous son arrière-train. Elle tua le premier d'un coup bien porter, tandis que l'autre était déjà mort écraser. Voilà qui remplirait bien sa réserve.

Toute joyeuse, elle prit entre ses crocs ses trois proies comme elle put, et  alla les entreposer dans son terrier, en gardant un pour le manger.
La chaire était moelleuse et chaude, bien tendre, une vrai peau de jeune lapin.

Le soleil arrivait à son zénith, et Daka s'était coucher sur une branche basse du vieux chêne qui abriter son terrier, la fourrure brillant sous les rayons du soleil.
La louve blanche avait prit l'habitude de se reposer en hauteur, loin du froid de la neige, même si elle ne sentait plus rien avec l'habitude et le temps.
Soudain, un bruit de pas lui fit redresser la tête. Ce n'était pas une proie, trop discret.
Sautant de son perchoir, elle se dissimula derrière l'épais tronc d'arbre, observant depuis sa cachette qui approchait.

C'était un grand loup noir aux yeux glaçaient. Daka plissa les yeux. Elle ne l'avait jamais vu par ici. Elle leva le museau et huma l'air, qui lui apporta l'odeur de la meute Moka.
Qu'est ce qu'un Moka faisait si loin de son territoire ?

Restant dissimuler, Daka ouvrit la gueule, prête à parler à l'inconnu.

"Que fait un Moka si loin de ses terres ?"

Cette période de l'année était pour moi la plus ennuyante et ennervante.  La chaleur qui régnait ces temps si était insoutenable, sans compter qu'une journée sur deux, des orages éclatait sur l'île et rendais l'air humide. Je détestait cette saison.  Et pourtant certain la préfèrait au autres. Il est vrai que le gibier ne se fais pas rare et qu'il n'y a pas de risque d'épidémie. Ca sans doute par ce que je suis chef que je pense ainsi qui sais ? Et peu être aussi car je suis obliger de passer d'ombre en ombre pour ne pas risquer de me fair griller par les rayon du soleil.  

Ce matin là était un matin comme les autres. Je me leva, fit un brin de toillete pour remettre en place les poiles rebelles que j'avais sur le dos, mangea le lapin bien dodo que m'avais apporter un apprenti et écouta le rapport de mon lieutenant.  Les frontières était sur et les équipes de chasse avais regarni complètement la réserve. Une matinée bien ordinaire et aussi chaude qu'a l'accoutumée. Je fit le tour du camp pour mes dégourdir les pattes et salué les membres du clan, quand je surpris une discussion entre deux guerrier. Ils parlaient d'une vallée qui n'était pas exposer au rayon du soleil et qui, d'après eu, gardait encore la neige de l'hiver. Si cette endroit existait belle et bien, je devais m'y rendre !

Après avoir demandé l'emplacement de cette vallée et avoir annoncé mon départ a mon lieutenant,  je parti en direction des terres libres et de cette mystérieuse vallée. C'était bizarre qur je n'ai pas eu vent de cette endroit qui pourtant devais être connu vu qu'il était dans l'île.  Ce n'est pas comme si elle était énorme au point de manquer un pareil territoire. Après avoir traversé mon territoire et avoir passé notre frontière, l'air se fit plus frais et le soleil ne vint plus me cacher la vu. Ce que je vit devant moi m'étonna rt pas qu'un peu. La vallée ou je me trouvais était encore enneigé,. De la neige en parti fondu et sur le point de partir, mais quand même ! J'entrepri de faire le tour de cette vallée plutôt étrange à mon gout. Un arbres plus grand que les autres m'intrigua. Allant dans la direction du chêne centenaire devant moi. Je senti une odeurs. C'était celle d'un loup ! Il n'appartenait à aucun clan. Cq devait être un solitaire qui a élu domicile sur ces terre à mon humble avis. Restant sur mes gardes et essayant d'ètre le plus discret possible je continua mon chemin vers l'arbres surplombant la vallée, quand soudin une vois venu de derrière moi me parvenu.

Que fais un Moka aussi loin de ses terres ?

Voilà donc notre solitaire et il semblerait que se soit moi qui me soit fais trouver et pas l'inverse. J'étais en position de faiblesse. L'ennmi était dissimuler et moi j'était a découvert. La seul chose que je savais c'est que la voix de l'inconnue se trouvait derrière moi. Me retournant doucement, je ne vit pourtant personne, mais l'odeurs du solitaire restait pourtant soutenu. Pour le moment en tout cas je devais coopéré et essayer de ne pas attiser ca aine et puis tant que j'y étais il fallait que je le pousse a ce montrer.

Je ne suis pas ici en temps qu'ennemi. Je ne veu pas me battre, montrez vous.

Je dit ses mots le plus calmement possible. Je ne voulais pas que l'intéressé me saute dessus par surprise car, même si j'était un combattant hors pair, si je ne connais pas mon ennemi et que je suissur son territoire, mes chancr de victoire seront plus basse. J'attendais ca réponse quand un craquements de branche suivi d'une feuille tombant sur le sol attira mon attention. Je leva la tête et surprise, une louve blanche ce tenais en face de moi. Quelques choses dans son regard m'étonna. Elle m'était famillaire et pourtant, même en me creusant la mémoire, rien ne me vint. Sa devait sans doute être une hallucinations.

Qui est tu ?

"Je ne suis pas ici en temps qu'ennemi. Je ne veu pas me battre, montrez vous."

Encore heureux ! Pensa Daka, tout en observant le loup noir se retournait vers elle, légèrement surpris de ne découvrir personne derrière lui.
La louve blanche cru en ses paroles, et sût qu'elle avait l'avantage de la surprise sur lui. Autant en profiter.
Avec agilité, Daka sauta sur une branche basse de l'arbre, la faisant craquer et observa une feuille tourbillonnait au dessus de la tête du Moka, avant de sauter devant le loup, sans aucun bruit.
C'était sans doute la louve la plus discrète au monde, et voilà pourquoi l'inconnu se retrouva pris au dépourvu face à Daka, qui riait intérieurement de la situation.
Elle resta stoïque face au loup, les pattes plantés dans la poudreuse à moitié fondu, le regard fixait dans les yeux glaçaient du mâle.

C'était étrange, cette sensation de déjà vu, quand elle plongea ses prunelles dans les yeux du loup noir.
Elle plissa les yeux, cherchant à se rappelait, mais n'obtint aucune réponse. Pourtant, elle le savait, c'était là, quelque part au fond d'elle.

Enfin, elle laissa tombé cette stupide pensée en secouant la tête, avant de reporter toute son attention sur le mâle.

"Qui est tu ?"

Daka pencha la tête sur le côté, les yeux réduit à deux fentes noirs. Pourquoi aurait-elle donner son identité à un inconnu ? Elle ne l'avait jamais vu (enfin, pas dans ses souvenirs) et il voulait qu'elle se présente ? Il se fourrait la griffe dans l'oeil !
Pourtant, il ne semblait pas lui vouloir de mal. C'est aussi ce qu'avait dû se dire sa mère en rencontrant son père.
Daka serra les crocs, la mâchoire contracter, les yeux fermés avec force.
Jamais, oh grand jamais, elle ne ferait confiance à un mâle.
Elle rouvrit les yeux, cherchant la menace au fond des yeux bleus du loup noir.

Mais elle ne trouva rien d'autre qu'un océan de glace.
Poussant un soupir, elle ouvrit enfin la gueule.

"Pourquoi est-ce que je te le dirais ?"